|
Cyril : Rencontré en 2003 au hasard de la vie, tu es
aujourd’hui un ami, et je te considère comme mon frère (celui
que je n’ai jamais eu, comme la magnifique chanson de Maxime Leforestier).
Je t’ai vite appelé chouchou, « mon chouchou », c’est peut être pénible et un brin puéril mais c’est ainsi. Tu sais comprendre au-delà des mots mes sentiments et ce
que je ressens pour toi. Ta sensibilité et tes nobles sentiments sont des valeurs
sûres. Je n’ai pas honte d’être ce que je suis, je n’ai encore moins de pudeur pour te dire que tu es dans mon cœur. Ta passion pour le cheval me rend heureux car j’aime ceux qui ne trichent pas avec leurs désirs et leur amour. Moi je sais que tu es un mec bien, ne changes rien ! |
|
|
|
![]() |