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![]() Francisco :
Il est bien difficile de parler de toi sans avoir dans mon coeur ce pincement qui ne me quittera sans doute jamais. J'ai toujours pensé que c'était toi. Que nous allions tous les deux dans la même direction, que l'amour nous portait pour nous faire supporter les difficultés du quotidien. Oui j'ai pensé, trop....mais quand on est à ce point amoureux et honnête c'est normal. Et puis c'est toi qui a décidé de tout stopper : net. Je n'ai pas compris et je respecte ton choix. J'y ai laissé une partie de moi, une partie de mon âme aussi. Mais je t'aime tant que tout est pardonné. Bonne route à toi mon "espagnol préféré" Qué ! |
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